mardi 2 septembre 2008

Clavier envahi, Rossi rossé (2 septembre 2008)

Un coordonnateur de la sécurité intérieur (ancienne attribution du préfet délégué à la sécurité) viré parce qu'un ami du président Sarkozy a vu son lotissement envahi par des protestataires nationalistes. Fallait-il qu'il prenne des mesures à la Poniatowski ? On en a vu les résultats à Aléria il y a 33 ans. L'aurait-on viré si le propriétaire de la villa n'avait été un ami ? L'aurait-on viré s'il ne s'était pas appelé Rossi ? Une mesure qui satisfait l'égoi de Sarko ou de Clavier, on ne sait, mais qui, en outre, est d'une maladresse insigne. Les Corses "ami de la France" vont-ils se sentir considérés comme les harkis l'ont été par la marâtre patrie. Voilà du grain à moudre pour ceux qui veulent prendre le large...

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