jeudi 23 avril 2009

Clavier, les gendarmes, le ridicule

Après l'occupation-sangria de la villa de Clavier, la colère présidentielle aurait pu se calmer les semaines passant. Elle s'est peut-être calmée mais prudence étant mère de sûreté, huit mois plus tard un fourgon de gendarmerie surveille toujours les alentours de la villa maudite. Hormis le fait qu'il s'agit plus d'un travail de gardiennage qu'une société privée pourrait assurer, faut-il vraiment prendre au sérieux la moindre lettre anonyme qu'un idiot de village a pu envoyer. A ce compte là, les gendarmes peuvent descendre du fourgon et réclamer un bâtiment en dur... Ils risquent d'y rester longtemps.

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