jeudi 30 octobre 2008
Les "amis" de la Corse déboutés par le TA envisagent de se retourner contre les communes qui leur avaient beaucoup promis... inconsidérément (30 octob
Une interview du nouveau maire de Bonifacio parue dans Corse Matin qui pointe fort justement l'impact des décisions des édiles précédents lorsque cela aboutit à l'annulation de 5 permis de construire et que les "amis" de la Corse ("nous adoooorons la Corse, etc..." - air connu) essaient de se rattraper financièrement en se retournant contre les communes en question. Les "amis" en question ne le sont pas à n'importe quelles conditions, il serait bon de s'en rappeler et d'être prudent dans les relations que l'on a avec eux ; et si les protestations sur les exclus (corses) de la terre que l'on entend du côté de mes amis nationalistes m'indisposent souvent, force est de reconnaître que le droit d'installation ne signifie pas vendre le littoral à l'encan et qu'on apprécierait mieux un activisme de nos édiles en faveur de l'investissement productif et/ou du développement d'un urbanisme intégrateur d'activités. Un vrai débat à l'occasion du PADDUC est attendu de tous mais attention à ne pas verser dans l'ethniquement correct, du type "différencions le permis Séguéla du permis Culioli" pour reprendre l'exemple cité dans l'article. Si Séguéla présente, à l'avenir, une demande conforme aux intérêts du littoral et des perspectives urbanistiques pourquoi pas Séguéla ! Et si un Corse du cru nous propose un parcours de golf (30 cm de terre sur un soubassement en béton) au financement incertain, avec opacité des comptes et privatisation du littoral, non merci !
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